Découvertes de l’année 2011

Mais que vont-ils bien pouvoir encore inventer? Année après année, nous sommes impatients de découvrir le fruit du travail des chercheurs québécois. Et année après année, nous nous réjouissons de constater que leur ingéniosité ne se dément pas.

La cuvée 2011 n’a ainsi rien à envier aux précédentes. Certaines découvertes relèvent de la science fondamentale, comme ce mécanisme de défense bactérien mis au jour par une équipe de l’Université Laval. D’autres ont déjà des applications concrètes, comme cette vis poreuse en mousse de titane qui améliore la régénérescence des os après une fracture. Certaines trouvailles ont été faites au coeur de la forêt québécoise ou au milieu du Saint-Laurent; d’autres, dans le silence d’un laboratoire. Nous avons sélectionné 10 découvertes parmi les quelque 90 qui nous ont été soumises par les universités, les centres de recherche et autres instituts. Comme toujours, nous avons privilégié la rigueur scientifique, mais aussi l’originalité, la diversité, ainsi que l’aspect novateur et utilitaire, afin de vous offrir le meilleur de la science d’ici.

De votre côté, vous avez été près de 2000 à voter pour votre découverte préférée.

Le Prix du Public Québec Science — Découverte de l’année 2011 a été décerné le 3 avril dernier à deux chercheures de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), Annie DesRochers et Émilie Tarroux, pour leurs travaux de recherche révolutionnaires sur les greffes racinaires qui ont totalisé 20% des voix.

 

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